Le réseau des Universitaires républicains (RUR) a rencontré le président de la République, mercredi 1er novembre 2023, au palais de la République, pour faire le point sur la situation politique de notre pays mais aussi sur la vie des universités. Le réseau a commencé par réaffirmer au chef de l’Etat son engagement à davantage contribuer à défendre le bilan élogieux du président de la République et de son gouvernement. « Le RUR s’engage auprès du président de la République à accompagner le candidat Amadou Ba, jusqu’à la victoire finale, à l’élection présidentielle, du 25 février 2024 », note-t-on dans le document.
S’agissant de l’actualité judiciaire et le déroulement du processus électoral, le RUR soutient que : « le processus électoral est transparent et est mené par des institutions indépendantes. À ce titre, le RUR magnifie la position de la Direction générale des élections (DGE). Pour la tenue d’élections libres et transparentes, la gestion du fichier électoral demeure essentielle. Or, à ce niveau la DGE n’a aucune compétence d’intégrer ou de retirer quelqu’un des listes électorales. Ce que certains observateurs qualifient de « refus » de la DGE n’en est pas un. Elle est dans son droit le plus absolu de ne pas remettre de fiche de parrainage à un non électeur. Le défaut de présence dans les listes d’un électeur est au fondement de la position de la DGE ».
Par ailleurs, le RUR s’indigne face à l’acte de barbarie perpétré à Kaolack sur un cadavre. « Cet acte ignoble qui sape la dignité humaine a ému la communauté nationale. Le RUR salue la réaction du parquet de Kaolack qui a ouvert une enquête pour identifier et punir sévèrement les auteurs de cet acte odieux, contraire à nos valeurs civilisatrices », a-t-il dit.
Le RUR constate aussi la recrudescence de l’immigration clandestine avec son lot de victimes. « Le RUR invite les jeunes à une prise de conscience patriotique et à s’approprier les politiques de jeunesses mis en place par le président de la République en matière de financement de projet (DER-FJ), programme Khéyou ndaw gni, ANPEJ… », conclut le document.
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