Le vendredi 17 novembre, la Cour suprême cristallisait toutes les attentions. Parce que dans la salle d’audience, se jouait, d’une certaine manière l’avenir politique de Ousmane Sonko, du moins pour ce concerne la présidentielle du 25 février 2024. Il s’agissait pour cette cour de statuer le pourvoi en cassation introduit par l’Agent judiciaire de l’État concernant la réintégration de Sonko dans les listes électorales, comme l’avait décidé le juge de Ziguinchor.
Reportage photos : Abdoulaye SYLLA