Le Sénégal n’est pas un jouet qui doit être entre des mains de gens qui font du «ngaralé». Quand on est poursuivi par la justice sénégalaise, on est Français ou Américain. Quand on veut être candidat, on est Sénégalais. Bi ou double nationalité, pour diriger notre pays, nous devons l’aimer et ne jamais le comparer à un autre. C’est l’avenir du pays et des risques de haute trahison qui sont en jeu. La législation doit être corsée sur ce point avec un contrôle a priori. Et non juste une confiance aveugle à une «déclaration sur l’honneur». Pour éviter l’horreur.
EMEDIASN