La dépigmentation par voie intraveineuse est devenue un problème de santé publique. En 2023, rapporte Dr Astou Diouf Kébé, de l’Association internationale d’information sur la dépigmentation artificielle, à l’hôpital Institut d’hygiène sociale (Ihs), sur 10 cas de cancer détectés par jour, les 8 sont liés à la dépigmentation avec 2 cas de décès. L’Association internationale d’information sur la dépigmentation artificielle s’indigne de la gravité de la situation. En effet, la dernière étude de prévalence faite en 2018 atteste que la ville de Pikine compte 71% de cas. La région de Kaffrine a enregistré 59%. Alors que les Parcelles assainies comptabilisent 55% et 51% pour la ville de Guédiawaye. La tranche d’âge la plus concernée est comprise entre 18 et 35 ans. La moyenne d’âge est de 35 ans».
M.D et A.AK