Affectation (polémique ?) d’un officier général par-ci, interpellation de journalistes par-là, interdiction de manifestation, les coûts des denrées alimentaires… voilà le nouveau fromage d’une presse divisée en pro et anti nouveau pouvoir. Une autre presse est au juste milieu. C’est important.
Chacun est libre de choisir son camp. Les citoyens suivent avec intérêt les développements. Rien qu’à lire l’article initial d’un média qui a ouvert les débats centrés sur l’acquisition du «logiciel américain PEGASUS», (alors que ce logiciel est une marque israélienne), on se rend compte qu’il y’a une volonté de manipulation, certainement au nom d’intérêts occultes.
Apparemment, une certaine presse a mordu à l’hameçon (de la manipulation). Faire fi du principe de science politique qui consacre l’état de grâce pour tout nouveau régime, (au moins 90 jours) et ouvrir les hostilités, dès la prestation de serment du Président, relèvent d’une mauvaise stratégie pour les «déstabilisateurs». Car la vérité est que ce régime garde encore sa cote de popularité intacte, et semble même disposer d’une réserve de capital-confiance citoyenne, encore plus solide que la force qui l’a amené au pouvoir.
La fin des fourberies, des tartufferies des tenants de l’ancien régime a sonné. Il ne sert à rien de s’agiter à l’ouverture des débats. Le JUB JUBAL JUBANTI est irréversible. D’ailleurs, la «doctrine du GOXXI» doit être théorisée, mise en œuvre, au nom de la reddition des comptes. C’est une commande citoyenne, incompressible. Les nouvelles autorités en sont conscientes. AY WAAY, BOULEEN YENGEL GAAL GI ! Pour des intérêts occultes, à la place des «forces occultes».
Ngagne DEMBA