Le leader de Agir a également dénoncé les attaques du leader de Pastef. «Comment peut-on traiter certains magistrats de corrompus quand on décide de s’immiscer dans l’enclenchement de l’auto-saisine du procureur à travers son ministre de la Justice ? Pourquoi ne pas demander au procureur de faire son travail sur son propre dossier pendant devant la justice ? Encadrer la justice et la presse selon ses propres orientations est la pire des dérives d’un apprenti dictateur. S’attaquer à une opposition qui a décidé de laisser le temps de l’observation est une belle preuve d’incapacité face aux nouvelles charges étatiques. L’ingénieuse prouesse a été de trouver le temps de faire de la politique politicienne après avoir demandé du temps pour faire des résultats», a dit Thierno Bocoum.