Le Tribunal espagnol convoque ce lundi Juan Branco en tant que «témoin-victime» suite à une plainte déposée pour «délit de terrorisme commis sur un citoyen espagnol». Son avocat raconte que son client a été enlevé en Mauritanie «par un groupe armé sans insigne officiel, ensuite transféré clandestinement vers Dakar par voie fluviale et terrestre alors qu’il exerçait en sa qualité d’assistant du conseil de la Cour pénale internationale (Cpi)». Il impute la responsabilité au chef de la division de recherche criminelle de la police, Adramé Sarr, dénoncé par Juan Branco devant la Cpi. Le commissaire de la Sûreté urbaine, Bara Sangharé est également cité.