«Si Sonko n’avait pas porté son choix sur Diomaye, ce dernier ne serait pas élu. Cependant c’est Diomaye qui est le président de la République. C’est lui qui exerce les fonctions de président de la République. C’est vrai qu’au début, on aurait pensé que dans sa démarche, Sonko faisait ombrage au Président. Comme quand il a annoncé sa visite aux pays de l’Alliance des Etats du Sahel. C’est de la diplomatie qui n’est pas du ressort du Premier ministre. Quand il a commencé à recevoir des opposants de la France, c’est très délicat. Quand il s’est mis à parler de l’Armée, ce n’était pas non plus ses prérogatives. Mais j’inscris cela dans les erreurs de débutant. Au fil du temps, il a compris ou le Protocole a dû lui expliquer son rôle et celui du président de la République», a départagé Théodore Chérif Monteil.
F. MB. Et P.D. D. (Photo)