La catastrophe a été évitée de justesse avec cet avion de Transair. Il faut, pour cet incident ou accident, aller plus loin dans le diagnostic. Ne pas rester sur le tarmac du dilatoire. La compagnie bat encore de l’aile. Le décollage tarde encore comme les heures de départ. Malgré les efforts consentis pour être sur la même ligne que les autres compagnies africaines. Tiens, l’Aibd aussi et les tracasseries comme ce policier qui a exigé 150 dollars à une autorité étrangère. L’image aussi peut faire un crash. Surtout pas d’explications aériennes. Mais Sant yallah rek.
Emediasn