Il fallait s’y attendre. Adji Sarr ne pouvait plus vivre dans ce pays. Sa sécurité était en jeu. Et, à vrai dire, elle aussi était une détenue «politique». Et une amnistie ne peut être un massage pour le nouveau régime qui a quand même vécu l’enfer et la prison. Pourtant Diomaye pouvait «l’amnistier» à son tour. Ndeysaan, Canada, Suisse ou ailleurs, dina toumouranké. Millions ou milliards, la liberté n’a pas de prix. Laadial Bass ak Ousmane. Même si le dénouement du film est heureux. Peut-être que Adji star est en pèlerinage.
Emediasn