En grève de la faim totale depuis son incarcération, le journaliste Pape Alé Niang, très mal en point et interné à l’hôpital Principal vient de bénéficier d’une liberté provisoire.
Son cas devenu très préoccupant à cause de ses antécédents médicaux et surtout qu’il refusait, à en croire le ministre Ismaila Madior Fall de recevoir des soins, nombre d’acteurs de la société civile et même politique ont demandé sa libération.