La rue est bondée de moutons au marché des deux voies de Sam, un endroit où les marchands proposent une variété de moutons pour répondre aux besoins des familles célébrant la tabaski. Une ambiance vibrante avec les vendeurs et les acheteurs.
Il est important d’être vigilant, nous dit Alioune Mbengue qui a une expérience de vendeur depuis son enfance en accompagnant son père pour la vente de moutons, c’est une tradition familiale pour lui, il peut repérer les faux billets sans avoir besoin d’une machine, toutefois Alioune dit qu’il est préférable tout de même de rester vigilant et de ne pas mettre directement l’argent dans sa poche.
La prudence est de mise, surtout lorsqu’il s’agit de manipuler de l’argent pendant des évènements comme la Tabaski où l’activité est très intense.
Cela n’est pas une grande équation pour Saer Diouf, qui est dans l’élevage depuis son enfance et détient une machine détectant les faux billets qui est tout le temps dans sa poche. Il affirme n’avoir jamais été victime, mais a déjà vu des faux billets, et que juste au toucher il peut facilement savoir que c’est un faux.
Pape Mangane lui aussi vendeur de moutons nous confie qu’il n’a pas de machine pour faux billets, mais se fie totalement au toucher, car il est très dur et ressemble plutôt à du carton. Il dit qu’il est très attentif surtout en cette période qui est très animée.
Il est important d’être vigilant lors de la vente de moutons, la prudence et la vérification de l’authenticité de l’argent sont préconisées.
NDIAYE Mame Penda (Stagiaire)