Des propos attribués à la députée Anta Babacar Ngom Diack, appelant à la « criminalisation de la chirurgie esthétique », ont circulé ces dernières heures sur les réseaux sociaux, suscitant un vif émoi. L’Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC) dément formellement ces allégations qu’elle qualifie de « totalement infondées ».
Dans un communiqué officiel publié ce mercredi, ARC déplore la diffusion de ces informations « sans vérification ni recoupement », et appelle à la responsabilité des médias et des citoyens dans le traitement de sujets sensibles. Le contexte national, marqué par des drames récents ayant soulevé une forte émotion, exige selon l’ARC une approche « rigoureuse, lucide et respectueuse des libertés individuelles ».
L’organisation politique précise que la position de l’honorable députée n’est en aucun cas de nature punitive. Elle milite plutôt pour une régulation appropriée du phénomène de la chirurgie esthétique, dans le respect de la dignité humaine et des droits fondamentaux.
L’ARC en appelle ainsi à la vigilance de l’opinion publique et à l’éthique des professionnels de l’information, afin d’éviter la propagation de fausses informations pouvant nuire injustement aux personnes mises en cause.
Emedia