«Après l’alternance, on était en droit d’espérer discuter solutions à nos institutions à terre, au chômage écrasant la jeunesse, à la corruption généralisée, ou encore à l’éducation de nos enfants en déliquescence. Au lieu de cela, on débat sur le débat, et le Premier ministre menace d’aller faire sa déclaration de politique générale au marché Sandaga si cela lui plaît. Plutôt que de lancer un ultimatum à l’Assemblée nationale, à qui il est tenu de par la Constitution de s’adresser, Ousmane Sonko serait mieux inspiré de se rapprocher de cette institution et de trouver une solution à cette « crise factice ».»
Emedia.sn