« A quoi riment ces nouvelles formes de menaces? Après les convocations de la police suivies d’arrestations et condamnations arbitraires de lanceurs d’alerte et de prêcheurs religieux, c’est au tour des journalistes de défiler devant la Section de recherches de la Gendarmerie.La liberté d’opinion doit être garantie à tout citoyen parce qu’elle est le socle de la liberté.Même si les postures changent au gré des positionnements dans la sphère politique, il faut veiller à laisser notre vitrine démocratique intacte.Il est désormais interdit de parler du Premier ministre et chef de parti Ousmane Sonko ? Quelle farce de mauvais goût ? Non à l’arbitraire. Non à la tentative de musèlement de la presse. »
Emedia.sn