Quelques heures après les tirs survenus dans la capitale guinéenne, l’état-major des forces armées avait convoqué une conférence de presse à Bissau, prévue à 14h. Celle-ci a été rapidement annulée, évoquant des « ordres supérieurs ».
Parallèlement, l’armée occupe actuellement plusieurs stations de radio dans la ville et ordonne leur fermeture. La situation reste confuse dans le pays.
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