Le Cices peut bien profiter de cette foire aux promesses. Les stands sont ouverts. Il y en à (re)vendre. Certains candidats parmi les 20 ont exposé leurs produits. On nous propose le paradis, des ouroul ayni, une baisse du coût du «mayé bou ndieukk» et du «warougar» pour les célibataires… Bon, on fait confiance aux baana-baana du rêve. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Surtout religieusement.
EMEDIASN