Vous vous souvenez sûrement de Sarr Boubacar, l’un des tout premiers joueurs Sénégalais à avoir conquis le football français et popularisé ce sport et le monde des paris. Aujourd’hui, c’est son fils, Naby Sarr, qui a pris la suite du grand attaquant. Sur la premier bet apk, il est possible de parier sur lui et son équipe.
Le football dans les gènes
Naby Sarr est né à Marseille en 1993, dans la deuxième plus grande ville de France. Là où son père avait passé deux saisons et empilé 22 buts en seulement 33 matchs pour le compte du club Phocéen.
Très vite, le jeune Naby Sarr a trouvé sa voie, en signant sa licence jeune au sein du club le plus titré de France : l’Olympique Lyonnais. Son rêve ? Jouer en équipe de France et gagner la coupe du monde. Ce rêve a bien failli se réaliser.
Dès 2012, le jeune Naby Sarr est appelé en équipe de France U20, où il joue 12 matchs, puis en U21. Parti au Sporting CP, au Portugal, Sarr trouve ensuite sa voie au pays du football : l’Angleterre.
Du Charlton Athlétic de Londres à Reading, en passant par Huddersfield Town, Naby Sarr joue le football le plus compétitif du monde. Mais comme son père, qui a fini sa carrière aux Etats-Unis, le jeune Naby Sarr s’est envolé pour une destination plus exotique.
L’appel du Qatar
Nouvel Eldorado du Moyen-Orient, le Qatar tente de concurrencer l’Arabie Saoudite en recrutant des joueurs du monde entier dans son championnat. Il y rejoint Jayson Papeau, un autre compatriote au CV tourné vers l’international, mais aussi l’une des promesses du football béninois, Salman Salman.
Toutefois, le championnat qatari n’est que le 75ème championnat en termes de niveau de jeu, derrière notamment : le Nigeria, les Emirats Arabes Unis, la Tanzanie, l’Afrique du Sud, la Tunisie et l’Arabie Saoudite.
Si Naby Sarr n’a malheureusement pas réussi à percer en équipe de France, et a décliné la sélection Sénégalaise en novembre 2019, il évolue aujourd’hui dans un championnat qui pourrait lui donner des envies d’ailleurs.
Pourquoi pas le championnat Sénégalais ?
Le DTN (Directeur Technique National), Mayacine Mar a été clair en parlant de la Ligue 1 : « Le championnat a un bon niveau ». Les chiffres parlent pour lui, puisque la moyenne des buts marqués à chaque match est de 1.73, soit plus que le ratio de la Premier League anglaise qui est de 1.5.
La qualité du jeu se retrouve dans l’attirance des clubs étrangers pour nos joueurs. Les meilleurs d’entre eux, comme El Hadj Seck ou Ibrahima Seck s’envolent pour la Belgique ou encore la Pologne. Une preuve que la Ligue 1 pourrait bien, elle aussi, attirer des joueurs comme Naby Sarr.
Le football Sénégalais semble à la croisée des chemins. Il est de plus en plus certain que, dans les saisons à venir, des joueurs internationaux feront leur entrée dans nos stades et donneront un nouvel élan au football sénégalais.