Ils sont au total 19 candidats venus de la banlieue dakaroise, des régions et de la diaspora, participer à la nouvelle émission téléréalité, «Top sape». Mais pour cela, il faut d’abord franchir l’étape fatidique du concours pour pouvoir entrer dans la maison éponyme de l’émission. Et après trois prime-time, 6 d’entre eux seront éliminés de cette compétition qui est une émission de mode qui allie l’utile et l’agréable. Puisqu’au-delà de la beauté et l’élégance dans l’habillement, les candidats devront allier l’intelligence, la prestance, le pragmatisme, un background, l’efficacité et une bonne communication.
Le premier «prime time» s’est tenu dans le hall de la Maison de la culture Douta Seck devant une foule compacte de supporters. Aux environs de 16h, lorsque les candidats, composés d’hommes et de femmes, accompagnés de leur coach, effectuent leur entrée, avec à leur portée des valisettes, le comité d’organisateur s’attèle au dernier réglage. À la régie, sous le rythme des sonorités, les jets de lumière se distillent entre les protagonistes en besogne dans les coulisses.
«Il n’y a pas de tata, ni de tonton, nous sommes des adversaires»
Dans cette ambiance carnavalesque, les concurrents affichent une concentration impeccable sur concours. «Aujourd’hui, il n’y a pas de tata, ni de tonton, nous sommes des adversaires», lance Awa, ménager de la candidate venue de Kaolack Bambi Senghor. Tandis que l’autre candidate de la région du Sud Laydiza, visage bien maquillé avec coiffure une petite tête, ses faux ongles mis en exergue avec du vernis de couleur orangé, est concentrée sur les conseils de son coach Pape Doudou Diallo. Il faudra attendre 17h pour que les membres du jury, composés du patron de 1000 Mélodies, Baba Hamdy Diawara, le grand acteur Grand Laye, de Tekki design et la mannequin Marième Sy, s’installent au premier loge, stylos et blocs note à la main.
Tenues traditionnelles et modernes
Après les tirages au sort en présence des coachs pour l’ordre des passages des candidats, place aux choses sérieuses. L’animatrice Fafa, sous la complice du Dj, donne le top de départ. Les prétendants ont droit à deux tenues, une moderne et une autre traditionnelle, mais seulement chaque candidat n’a que 4 minutes pour les deux passages. C’est parti pour plus de 4h de va-et-vient sur le podium, les déhanchements, les sapes sous toutes ses formes et couleurs, le tout sur du consommé local, sous les ovations du public qui apprécie les tenues. Après plusieurs passages des candidats, les jurys livrent leur première impression : «Il y a de belle tenue, mais on ne privilégie pas trop la communication, or c’est un critère hyper important», critique Baba Hamdy. Les coaches et le public motivent les candidats. Le candidat de Thiaroye Babacar Kane a séduit l’assistance, avec un show époustouflant. Il a décortiqué toutes ses tenues dans le respect du timing. «C’est ça qu’on attend de vous du show», s’éclate M. Diawara. «En tout cas, il n’est pas encore déclaré vainqueur, mais force est de constater qu’il a une longueur d’avance sur ses conquérants», murmure un groupe de jeunes.
Ils sont au total 19 candidats venus de la banlieue dakaroise, des régions et de la diaspora, participer à la nouvelle émission téléréalité, «Top sape». Mais pour cela, il faut d’abord franchir l’étape fatidique du concours pour pouvoir entrer dans la maison éponyme de l’émission. Et après trois prime-time, 6 d’entre eux seront éliminés de cette compétition qui est une émission de mode qui allie l’utile et l’agréable. Puisqu’au-delà de la beauté et l’élégance dans l’habillement, les candidats devront allier l’intelligence, la prestance, le pragmatisme, un background, l’efficacité et une bonne communication.
Le premier «prime time» s’est tenu dans le hall de la Maison de la culture Douta Seck devant une foule compacte de supporters. Aux environs de 16h, lorsque les candidats, composés d’hommes et de femmes, accompagnés de leur coach, effectuent leur entrée, avec à leur portée des valisettes, le comité d’organisateur s’attèle au dernier réglage. À la régie, sous le rythme des sonorités, les jets de lumière se distillent entre les protagonistes en besogne dans les coulisses.
«Il n’y a pas de tata, ni de tonton, nous sommes des adversaires»
Dans cette ambiance carnavalesque, les concurrents affichent une concentration impeccable sur concours. «Aujourd’hui, il n’y a pas de tata, ni de tonton, nous sommes des adversaires», lance Awa, ménager de la candidate venue de Kaolack Bambi Senghor. Tandis que l’autre candidate de la région du Sud Laydiza, visage bien maquillé avec coiffure une petite tête, ses faux ongles mis en exergue avec du vernis de couleur orangé, est concentrée sur les conseils de son coach Pape Doudou Diallo. Il faudra attendre 17h pour que les membres du jury, composés du patron de 1000 Mélodies, Baba Hamdy Diawara, le grand acteur Grand Laye, de Tekki design et la mannequin Marième Sy, s’installent au premier loge, stylos et blocs note à la main.
Tenues traditionnelles et modernes
Après les tirages au sort en présence des coachs pour l’ordre des passages des candidats, place aux choses sérieuses. L’animatrice Fafa, sous la complice du Dj, donne le top de départ. Les prétendants ont droit à deux tenues, une moderne et une autre traditionnelle, mais seulement chaque candidat n’a que 4 minutes pour les deux passages. C’est parti pour plus de 4h de va-et-vient sur le podium, les déhanchements, les sapes sous toutes ses formes et couleurs, le tout sur du consommé local, sous les ovations du public qui apprécie les tenues. Après plusieurs passages des candidats, les jurys livrent leur première impression : «Il y a de belle tenue, mais on ne privilégie pas trop la communication, or c’est un critère hyper important», critique Baba Hamdy. Les coaches et le public motivent les candidats. Le candidat de Thiaroye Babacar Kane a séduit l’assistance, avec un show époustouflant. Il a décortiqué toutes ses tenues dans le respect du timing. «C’est ça qu’on attend de vous du show», s’éclate M. Diawara. «En tout cas, il n’est pas encore déclaré vainqueur, mais force est de constater qu’il a une longueur d’avance sur ses conquérants», murmure un groupe de jeunes.