Ndiaga Sylla ne compte pas lâcher prise. Il compte introduire un pourvoi parce que pour lui « la décision de la Cour suprême n’est pas fondée sur le droit ». Et, il renchérit « si, les citoyens et les partis politiques n’ont plus le droit d’attaquer un décret qui fait grief, l’on n’est plus dans une République ». Pour rappel, Ndiaga Sylla avait saisi la cour suprême aux fins d’annulation du décret portant nomination des membres de la CENA ( commission électorale nationale autonome). Une requête jugée irrecevable par la Cour suprême qui a jugé ce mercredi cette affaire.
Malick Sy