La décrispation concerne aussi les «détenus» sous surveillance électronique. Et parmi les membres de l’ex-Pastef qui étaient frappés par ce régime, il y a El Malick Ndiaye, qui a bénéficié, depuis ce 5 mars, d’une mainlevée de la mesure de placement sous surveillance électronique, a appris Emedia de sources judiciaires. Cette décision fait suite à la requête introduite par Me Moussa Sarr le 20 février dernier. Alors, le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo y a accédé. Le chargé de communication du parti dissous avait été inculpé pour «diffusion de fausses nouvelles, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à enfreindre les lois».
Hamath KANE